à la Prévert
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des muscles de toutes les formes, des frissons souterrains, des vapeurs d'orgie, des délicatesses violentes, des stars pornophiles, des beautés entrevues, des lumières sans suite, des intensités profondes, des couilles lourdes et pleines, des plénitudes après la jouissance, des tétons pointés, des chevelures longues et aériennes, bouclées ou lisses, des sueurs de salle de sport, des romantismes de pacotille, des harnais domestiques, des poils qui transpirent, des libertés anciennes, de nouvelles petites gueules, des folles qui crient, des membres qui déchargent, des langues qui passent lentement sur le velouté charnu des bouches, des culs qui s'ouvrent comme des chattes, des toits brûlants, des caves nues, des godes gigantesques, des mamelons de mamelouks, des prince albert enrubannés de foutre, des coups de reins, des rouets et des princes, des senteurs de clope, du cambouis et du charme, des envies de draguer ce petit cul gainé de cuir, des sensibilités maquillées, de la fonte qui se remue, des murs et des cieux, une plage où l'on bande, des visiteurs masqués, des gros plans de cinéma, des artistes de la photographie mâle, des câlins de bohème, des cristaux de poème, des doigts et des caresses, des ivresses et des trucs bien dégueu, des slips remplis d'obus, des malades qui abusent, des cernes et des cendres, des hommes morts, des hommes vivants, chauds, assoifés, fous, des gorges pisseuses, des magnificences de banlieue, des garçons chics en dessous choc, des défilés de mode, des regards enfantins et modestes, des bourrelets d'abdos, des pectoraux aux veines gonflées, du sang qui circule, des sauvages enculés, des mains qui épousent la cambrure des reins, des petits riens, des grosses pines jamais vues, jamais sucées, jamais chéries, des cockring à la Wagner, des glaces au chocolat, des blacks aux pompeuses attitudes de gladiateurs, des peaux qui ne bronzent jamais, des litres de bave, des tatouages naissants, des tatouages blessants, des trahisons de couple, des coups de travers, des tronches de pute, des petites tendresses, de l'érotisme de merde, du duvet de garçon greffé sur du vieux muscle, du sport et du combat, des gémissements et des larmes, du lycra qui se tend, du tendon et du nerf, des haltères posés entre les jambes, du gel sur les poings, du fist jusqu'à l'épaule, des hommes qui s'appellent Paul, Arthur, Philippe ou Abel, et puis il y a toi... oui toi...
MOI ?